🗓️ Donner du rythme à la CSSCT
La CSSCT a trop souvent une existence formelle. Pourtant, cette instance a tout pour devenir un vrai levier de prévention… à condition d’exister en dehors des seules réunions officielles. Pour cela, il faut lui donner un rythme de fonctionnement : réunions régulières, points d’étape sur les actions en cours, visites de terrain planifiées. C’est en étant visible et constante qu’elle gagne en légitimité.
👥 Créer des liens avec le terrain
Pour faire vivre la CSSCT, il faut la connecter aux réalités du travail. Cela passe par des échanges réguliers avec les salariés, une présence lors des moments-clés (réaménagement, intégration, incident…), ou encore une remontée structurée des situations signalées. La CSSCT ne peut pas être efficace si elle reste coupée des équipes.
📈 S’impliquer dans les plans d’action
La CSSCT ne doit pas seulement commenter les documents transmis : elle peut participer à la construction, au suivi et à l’ajustement des plans d’action, notamment ceux issus du DUERP ou d’un diagnostic RPS. Cela suppose de suivre les indicateurs, de relancer les pilotes d’actions, de proposer des pistes concrètes. Cette implication renforce son rôle de moteur dans la prévention.
🧠 Monter en compétence collectivement
Enfin, faire vivre la CSSCT, c’est aussi faire progresser ses membres. En se formant régulièrement, en partageant leurs expériences, en se dotant d’outils adaptés, ils deviennent plus à l’aise pour jouer leur rôle. Cela permet aussi de renforcer la complémentarité entre élus, direction et encadrants dans le pilotage global des conditions de travail.
📍 Conclusion
Une CSSCT active est un atout fort pour l’entreprise. Encore faut-il qu’on lui laisse l’espace, les moyens, et la reconnaissance pour jouer ce rôle au quotidien.
Si vous souhaitez plus d’informations, contactez-nous en remplissant le formulaire en bas de page.
L’ensemble de nos coordonnées est disponible ici : notre page contact.